La Fédération des professionnèles représente des syndicats d’organismes gouvernementaux et de sociétés publiques:
- Syndicat des employé(e)s de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec (SECDPDJ-CSN)
- Syndicat des professionnels de la RIO (SPRIO-CSN)
- Syndicat du personnel technique et professionnel de la Société des alcools du Québec (SPTP-SAQ)
- Syndicat des avocats de l’aide juridique Laurentides-Lanaudière
- Syndicat des avocates et avocats de l’aide juridique de Montréal
- Syndicat des avocats de l’aide juridique du Bas Saint-Laurent-Gaspésie
- Syndicat des gestionnaires de premier niveau Aéroport de Montréal
Le SECDPDJ et le SPRIO se joignent à la négociation du secteur public pour les matières de table centrale : salaires, régime de retraite, droits parentaux, disparités régionales, assurances collectives, durée de la convention collective et toute autre matière que les fédérations souhaitent porter d’une seule voix à la table centrale.. À la FP, ces revendications sont convenues au bureau fédéral du secteur public (BFSP), auquel participent aussi les syndicats du secteur de la santé et des services sociaux et de l’éducation collégiale.
Aide juridique
La Fédération des professionnèles représente des avocates et avocats de l’aide juridique réunis au sein de trois syndicats. Les premiers syndicats d’avocates et avocats de l’aide juridique sont arrivés à la CSN en 1974 dans la foulée de la création, quelques années auparavant, de la Commission des services juridiques et de ses centres régionaux.
Le Syndicat des avocates et avocats de l’aide juridique de Montréal compte parmi les fondateurs de la Coalition pour l’accès à l’aide juridique. L’aide juridique a été créée en 1972 pour offrir aux personnes économiquement défavorisées l’accès à des services juridiques. À l’époque, les critères d’admissibilité étaient établis en fonction du salaire minimum. Avec le temps, cet accès a été réduit comme peau de chagrin. Créée en 2007 pour réclamer un accès accru à l’aide juridique, la Coalition pour l’accès à l’aide juridique regroupe 45 organisations et a recueilli l’appui de plus de 250 autres organisations. L’aide juridique a été arrimée, à compter du 1er janvier 2016, avec le salaire minimum, selon ce que réclamait la Coalition.
La responsabilité du secteur est assurée par Kathrin Peter (SECDPDJ).